01 octobre 2008
Apprendre de ses erreurs.
Le cerveau des enfants de huit ans n’est pas apte à tirer profit d’une expérience négative contrairement à celui d’un adolescent de douze ans qui peut apprendre d’une rétroaction négative et à celui d’un adulte qui le fait de manière encore plus efficace.
L’imagerie cérébrale par résonance magnétique fonctionnelle (IRM), une technique permettant de visualiser les zones du cerveau lorsqu’elles sont actives révéle que chez les enfants de huit et neuf ans, les aires responsables du contrôle cognitif (dans le cortex cérébral) réagissent fortement à des commentaires positifs et peinent à répondre lorsqu’ils sont négatifs.
Alors que chez les enfants de 12 et 13 ans, et également chez l'adulte, c'est le contraire : leurs centres cognitifs sont plus fortement activés par la rétroaction négative et beaucoup moins par des commentaires positifs.
C'est ce que je dit souvent à mes élèves (qui ont bien plus que douze ans) parfois sceptiques :
C'est en commettant des erreurs que l'on apprend !
L'IRM le confirme .
Source:Sciences et Avenir.com
L’imagerie cérébrale par résonance magnétique fonctionnelle (IRM), une technique permettant de visualiser les zones du cerveau lorsqu’elles sont actives révéle que chez les enfants de huit et neuf ans, les aires responsables du contrôle cognitif (dans le cortex cérébral) réagissent fortement à des commentaires positifs et peinent à répondre lorsqu’ils sont négatifs.
Alors que chez les enfants de 12 et 13 ans, et également chez l'adulte, c'est le contraire : leurs centres cognitifs sont plus fortement activés par la rétroaction négative et beaucoup moins par des commentaires positifs.
C'est ce que je dit souvent à mes élèves (qui ont bien plus que douze ans) parfois sceptiques :
C'est en commettant des erreurs que l'on apprend !
L'IRM le confirme .
Source:Sciences et Avenir.com
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