21 septembre 2007
Débat sur l'épreuve pratique de mathématiques au baccalauréat.
Le site EducMath vient de mettre en ligne une discussion sur l'épreuve pratique de mathématiques au baccalauréat.
Question proposée :
Dans la plupart des pays, les programmes de mathématiques mettent de plus en plus l'accent sur la dimension expérimentale de l'activité mathématique ainsi que sur l'aide que peuvent apporter les TIC à la mise en place effective de pratiques expérimentales dans les classes. A travers elles, au-delà de l'acquisition stricte de connaissances, on cherche à développer les compétences des élèves à poser des problèmes, les explorer, élaborer des conjectures et les tester, systématiser une étude, produire des argumentations convaincantes et des preuves, communiquer leur travail et les résultats obtenus. Comment évaluer de telles compétences ? Est-ce que la nouvelle épreuve expérimentale qui a été testée cette année dans quelques académies pourrait constituer un compromis acceptable, compte-tenu des contraintes qui pèsent sur une évaluation en temps limité ? Sous quelles conditions ?
A la question formulée par Michèle Artigue (ci-dessus), ont accepté de répondre :
Yves Chevallard (ARDM), Catherine Combelles(APMEP), Daniel Duverney (SMF), Jacques Moisan (doyen du groupe mathématiques de l'IGEN), John Monaghan (chercheur en Angleterre, qui a suivi la mise en place d'une épreuve "calcul formel" dans le "bac international"), Dominique Tournés (qui coordonne la réflexion des IREM sur ce point) et Lionel Xavier (INRP et IREM de Lyon, qui fait partie du groupe de pilotage national de l'épreuve).
Un forum est ouvert, il permet de poursuivre ainsi la discussion.
Voir les réponses
Participer au forum
Question proposée :
Dans la plupart des pays, les programmes de mathématiques mettent de plus en plus l'accent sur la dimension expérimentale de l'activité mathématique ainsi que sur l'aide que peuvent apporter les TIC à la mise en place effective de pratiques expérimentales dans les classes. A travers elles, au-delà de l'acquisition stricte de connaissances, on cherche à développer les compétences des élèves à poser des problèmes, les explorer, élaborer des conjectures et les tester, systématiser une étude, produire des argumentations convaincantes et des preuves, communiquer leur travail et les résultats obtenus. Comment évaluer de telles compétences ? Est-ce que la nouvelle épreuve expérimentale qui a été testée cette année dans quelques académies pourrait constituer un compromis acceptable, compte-tenu des contraintes qui pèsent sur une évaluation en temps limité ? Sous quelles conditions ?
A la question formulée par Michèle Artigue (ci-dessus), ont accepté de répondre :
Yves Chevallard (ARDM), Catherine Combelles(APMEP), Daniel Duverney (SMF), Jacques Moisan (doyen du groupe mathématiques de l'IGEN), John Monaghan (chercheur en Angleterre, qui a suivi la mise en place d'une épreuve "calcul formel" dans le "bac international"), Dominique Tournés (qui coordonne la réflexion des IREM sur ce point) et Lionel Xavier (INRP et IREM de Lyon, qui fait partie du groupe de pilotage national de l'épreuve).
Un forum est ouvert, il permet de poursuivre ainsi la discussion.
Voir les réponses
Participer au forum
Libellés : Epreuve pratique, Infos Bac S