17 avril 2009

 

Epreuve pratique de mathématiques au baccalauréat: L'APMEP confirmerait la suppression de l'expérimentation de l'épreuve pratique

Le numéro 145 du "Bulletin à Grande Vitesse" de l'APMEP confirmerait : l’épreuve pratique en maths sera supprimée l’année prochaine.
Source 

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16 avril 2009

 

Epreuve pratique de mathématiques au baccalauréat: Interruption de l'expérimentation de l'épreuve pratique jusqu'en 2013?

Lu sur le site du café pédagogique :
"Ces commentaires rappellent les objectifs et modalités de l’épreuve expérimentale en TS, (...) Notons au passage l’interruption de cette expérimentation, annoncée par le Doyen Jacques Moisan devant le Comité Scientifique des Irems, le format de Baccalauréat ne devant pas changer avant 2013 ; seules des banques de sujets seraient encore publiées chaque année."

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28 mars 2009

 

Epreuve pratique de mathématiques au baccalauréat

" Bien des critiques se sont élevées à propos de l’épreuve pratique en série S, de son expérimentation et de son éventuelle mise en place au baccalauréat...

... Il ne s’agit pas ici de prendre parti pour telle ou telle thèse ni de défendre aveuglément les mesures en place, mais de mettre à plat les arguments des uns et des autres pour les inscrire dans une démarche positive d’action, que ce soit dans les classes ou aux examens.
Ecouter les différentes critiques peut permettre à chacun d’entre nous d’éviter certaines dérives dans les pratiques, et d’adopter une ligne de conduite raisonnable qui nous permette d’avancer. La société mathématique de France est clairement hostile à la mise en place d’une épreuve pratique, comme en témoignent les extraits suivants d’un texte voté à l’unanimité par son conseil d’administration :"


La suite sur le site de l'Académie de Dijon : ici


Un dossier thématique proposant une synthèse de différents axes d'intégration des TICE dans l'activité de l'élève en mathématiques est aussi publié ici

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04 février 2009

 

Epreuve pratique de mathématiques au baccalauréat

Epreuve pratique de mathématiques au baccalauréat: Brochure de l'académie de Dijon

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18 novembre 2008

 

Epreuve pratique de mathématiques au baccalauréat: Publication des descriptifs pour l'expérimentation 2009

Publication des descriptifs pour l'expérimentation 2009 : Ici

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15 septembre 2008

 

Epreuve pratique de maths au bac

Lu sur le site letudiant.fr

"Au lycée, les calculatrices sont utilisées dans toutes les filières et se révèlent un précieux secours le jour du bac… Pour mieux évaluer leur utilisation par les candidats, le ministère de l’Éducation nationale envisage la création, à l’horizon 2009, d’une épreuve pratique en mathématiques pour les terminales S. Déjà expérimenté dans une vingtaine de lycées cette année, cet exercice permettrait d’interdire ces "mini-ordinateurs" le jour de l’épreuve théorique et accentuerait leur importance dans les enseignements scientifiques.
...
Près de 600 000 calculatrices graphiques se vendent chaque année. Un record en Europe, dont les premiers satisfaits ne sont pas les professeurs, mais les fabricants.
"

Un des buts de la création de l'épreuve pratique serait-il de booster les ventes des calculatrices ?

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04 septembre 2008

 

Vidéos de quelques exercices de l'épreuve pratique traités avec Carmetal.

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02 septembre 2008

 

Epreuve pratique de mathématiques au baccalauréat: L'académie de Strasbourg annonce la généralisation de l'expérimentation à tous les lycées

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30 juillet 2008

 

Epreuve pratique de mathématiques au baccalauréat: L'informatique au lycée vue par l'Académie des sciences

Extrait :
"L'enseignement de l'informatique peut répondre à un esprit différent selon le type de Lycée et le parcours suivi, mais aucun ne doit confondre l’enseignement de la discipline informatique avec l’apprentissage de ses outils. Dans la voie scientifique du Lycée, il serait absurde d’enseigner le maniement de l’outil sans compréhension des concepts. Il faut au contraire y enseigner les bases de l’informatique : algorithmes, programmation, méthodes de calcul, structures et traitement des données, et ce depuis la Seconde jusqu’à la Terminale."
Voir le document

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27 juillet 2008

 

Epreuve pratique de mathématiques au baccalauréat: Du côté des IREM

Voir en particulier le document publié par l'IREM de Bordeaux sur
"la typologie des exercices de mathématiques dans lesquels interviennent les TICE"
http://www.univ-irem.fr/IMG/pdf/Typologie_TP_TS.pdf

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05 juillet 2008

 

Epreuve pratique de mathématiques au baccalauréat: 13 sujets de l'expérimentation 2008 traités avec Geogebra

Epreuve pratique de mathématiques au baccalauréat: 13 sujets de l'expérimentation 2008 traités avec Geogebra

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03 juillet 2008

 

Epreuve pratique : Corrigé des 25 sujets de l'expérimentation 2008

Un corrigé, réalisé avec le logiciel Xcas, des 25 sujets tombés lors de l'expérimentation de mai/juin2008 est disponible ci-dessous (corrigé réalisé par Renée De Graeve)

pratique2008.pdf

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02 juin 2008

 

Epreuve pratique de mathématiques au baccalauréat: Déclarations du doyen de l'inspection générale à un syndicat enseignant


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25 avril 2008

 

VIRTUEL, MON AMOUR ; de Serge Tisseron.

Les outils numériques favorisent "un déni du réel", constate Serge Tisseron, psychiatre et psychanalyste. La manière même de se comporter en est influencée : "Dans le monde virtuel, l'hypothèse n'a pas de place : chacun est invité à tâtonner et à essayer toutes les possibilités qui s'offrent à lui. Le raisonnement n'est plus hypothético-déductif, mais intuitif en permanence." Les jeunes, en particulier, ont tendance à agir ainsi dans leurs relations : ils essayent tout, sans préjuger de rien.
Lecture à conseiller aux radicaux qui ne voient que des vertus mathématiques aux nouvelles technologies et qui souhaiteraient en finir avec les mathématiques de grand-papa !



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14 avril 2008

 

Epreuve pratique de mathématiques au baccalauréat: Quand un lycée abandonne l'expérimentation au bout de 2 mois...


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31 mars 2008

 

Epreuve pratique en terminale S : Dossier

Un dossier de la revue en ligne Mathematice est entièrement consacré à l’épreuve expérimentale au Baccalauréat S. C'est Ici

La revue MathemaTICE est une revue collaborative libre portant sur l’utilisation des TICE en classe de Mathématiques.

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08 mars 2008

 

Epreuve pratique au bac : Michel FRECHET, ancien président de l'APEMP,demande un moratoire.

Les nombreux messages passionnés sur le forum de l’APMEP concernant « Le projet d’épreuve pratique au bac » montrent que le sujet est brûlant. Les invectives, cachant parfois un manque d’arguments, mais aussi et surtout signalant un profond désarroi, fusent de tous côtés. Étant Président de l’APMEP lorsque le comité a voté, en novembre 2005, la première motion approuvant une épreuve de ce type, je me permets de donner, à mon tour, mon avis sur la question.

Ce texte est en aucun cas un texte officiel de l’APMEP.

Tout d’abord, il faut distinguer plusieurs choses : les TICE comme outils pédagogiques, l’expérimentation en Mathématiques et l’épreuve elle-même.

Les TICE comme outils pédagogiques.

La plupart des enseignant s’accordent pour dire que l’exposition démonstrative n’est pas la meilleure façon pour faire passer les connaissances mathématiques. Il existe de nombreuses recherches sur la manière d’enseigner notre matière. Par exemple, un récent article du Bulletin Vert signale que, dès 1912, parmi « les innovations qu’on tente d’introduire dans l’enseignement des mathématiques » figure le cinématographe qui permet d’« introduire plus de vie et de sens du réel dans notre enseignement. . . ». L’invention des frères LUMIÈRES permet, en effet, d’animer les figures géométriques et ainsi de montrer leurs propriétés, de deviner la réponse à un problème avant de démontrer. Plus tard, en suisse en 1940, Jean Louis NICOLET réalise de nombreux films d’animations mathématiques. Pour lui aussi, l’intuition [obtenue grâce aux animations notamment] persuade mais ne démontre pas. La logique démontre mais ne persuade pas ». « L’intuition et la logique constituent [donc] les deux étapes à parcourir pour arriver à la compréhension ».

Les logiciels de géométrie dynamique permettent cela, en quelques clics, et ce de manière rapide et efficace. Ainsi l’utilisation des TICE est un acte pédagogique. Cependant, ce n’est pas le seul. Ce n’est pas parce qu’un professeur n’utilise pas les TICE que son enseignement est nécessairement nul. Chaque enseignant doit être libre d’utiliser les méthodes pédagogiques qu’il domine et où il se sent le plus à l’aise. Ce principe ne devrait en aucun cas être remis en cause, la liberté pédagogique, actuellement mise à mal, doit être protégée.

Il serait beaucoup plus intelligent de convaincre les enseignants plutôt que de les persuader.

L’expérimentation en mathématiques

On nous dit que les maths sont en train de changer de nature. Mr MOISAN l’a d’ailleurs rappelé lors de son intervention aux journées de l’APMEP de Besançon. Une phrase de Claude Allègre me revient à l’esprit : « Les mathématiques sont en train de se dévaluer, de façon quasi inéluctable. Désormais, il y a des machines pour faire les calculs. Idem pour les constructions de courbes ». Les textes officiels vont même plus loin : Dans le numéro Hors série du BO no 2 du 30 août 2001, sont définis les objectifs de l’enseignement scientifique au lycée. On y lit ceci : « Les mathématiques sont aujourd’hui dans une situation particulière. Science des formes et des nombres, la mathématique est amenée à sortir de son style et de ses pratiques traditionnelles grâce au développement et à la généralisation de l’ordinateur. Elle se rapproche des sciences expérimentales, grâce à l’expérimentation numérique, à la simulation, et à ce que l’on peut appeler la démonstration empirique. . . ».

Que ceux qui savent ce qu’est une démonstration empirique me le disent.

Plus loin : « L’expérimentation est une démarche essentielle des sciences. Elle consiste à imaginer, à inventer des situations reproductibles permettant d’établir la réalité d’un phénomène ou d’en mesurer les paramètres. Cette démarche qui appartient à toutes les sciences envahit aujourd’hui du fait de l’ordinateur, les mathématiques ». Qu’est-ce sinon la définition de la méthode par induction ? Les mathématiques doivent-elles devenir une science inductive ? C’est une dérive qu’il nous faut contrer à tout prix.

La notion d’expérimentation en mathématiques est donc suspecte.

De plus le danger est grand, lorsqu’une expérimentation est bien faite que de nombreux élèves ne voient plus l’intérêt de démontrer les résultats obtenus, ce qu’ils voient leur suffit, même si les conclusions sont fausses. Lors de la leçon sur la fonction exponentielle, je démontre que l’exponentielle l’emporte toujours sur la fonction puissance lorsque x tend vers l’infini . La démonstration n’a pas convaincu. Habitué aux TICE, un élève, suivi aussitôt par d’autres, avait tracé les représentations graphiques des deux fonctions x puissance 10 et exp(x) sur sa calculatrice. Ces deux courbes se coupent très rapidement et celle de la fonction puissance se retrouve située au dessus de la fonction exp. Même en utilisant la fonction zoom, l’exponentielle se trouve toujours sur l’écran en dessous de la fonction puissance. Ce que j’affirmais à l’aide d’une démonstration était donc faux ! Et essayez de montrer, à l’aide des TICE que les deux courbes se recoupent en un autre point dont l’ordonnée est très grande ! On y arrive, mais au prix de savantes manipulations.

L’épreuve de TP

Alors épreuve de TP ou pas ? En juin 2005, Monsieur le doyen nous avait dit qu’il fallait contrer la puissance de plus en plus grande des calculatrices, leur capacité pouvant atteindre quelques Go. L’idée était alors de créer une épreuve de TP en mathématiques, épreuve évaluée et comptant pour le baccalauréat. Dans ce cas, l’utilisation des calculatrices pourrait être réglementée voire interdite lors de l’épreuve écrite.

Dans ces conditions, le comité de novembre 2005 de l’APMEP avait voté la motion suivante :

L’APMEP demande que l’épreuve de mathématiques au baccalauréat S comporte :

Une épreuve sur 4 points, qui se déroule dans le laboratoire de mathématiques de l’établissement. Cette épreuve évalue, comme en physique et en SVT, un TP pris dans une liste préétablie de sujets traités pendant l’année. L’élève dispose de divers outils, ordinateurs, calculatrices, instruments de géométrie, . . . qu’il utilise à sa guise.

Une épreuve de quatre heures, à sujet national, pour laquelle la calculatrice reste autorisée, sur des modèles réglementés.

Dans ce texte, on laissait le choix au candidat des outils utilisés : instruments de géométrie pouvaient signifier règles, compas, etc. . . De plus, c’était un appel à la création de laboratoire de mathématiques dans chaque lycée, l’une des principales revendications de l’APMEP.

L’objectif de cette épreuve a ensuite évolué : il s’agit maintenant d’initier les élèves aux TICE et, objectif moins avouable, le bac pilotant tout le système, forcer les professeurs à utiliser les TICE.

De trois choses l’une, ou le professeur de mathématiques doit, en plus du programme déjà très lourd, initier les élèves au maniement des outils informatiques, ou l’on veut imposer une méthode pédagogique aux enseignants, ou les mathématiques ont changé de nature, de science hypothético-déductive, elles deviendraient sciences expérimentales, les « ou » n’étant pas exclusifs.

Dans le premier cas, pourquoi est-ce au professeur de mathématiques à enseigner cela ? Et en admettant que la réponse soit positive, pourquoi ne pas augmenter l’emploi du temps des élèves de quelques heures consacrées uniquement à cet enseignement ?

Dans le deuxième cas, on fait fi de la liberté pédagogique des enseignants, ce qui est inadmissible.

J’espère vivement me tromper sur le troisième cas. Dans ce cas, que les lignes du BO citées plus haut disparaissent des programmes officiels afin d’éviter toutes dérives et toutes confusions.

Mes conclusions

En tout cas, les motivations de cette épreuve n’étant pas claires du tout, la plupart des enseignants de mathématiques n’étant pas convaincus, je serais partisan de demander un moratoire sur cette épreuve. Les objectifs doivent être clarifiés. Une évaluation sérieuse doit être menée sur l’expérience actuellement en cours. Et surtout, que l’on propose de nombreux stages de formations aux enseignants qui le désirent.

Le 7 mars 2008 , par Michel FRECHET

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31 janvier 2008

 

"Pourquoi je suis favorable à l'épreuve pratique de Mathématiques en Terminale S " Par Olivier Leguay

1) Il faut bien commencer quelque part pour introduire la manipulation des logiciels de représentation et de calcul en mathématiques. En France, ce quelque part s'appelle invariablement le baccalauréat, lorsque les changements ne se font pas par une inflexion naturelle des pratiques d'enseignement.
2) Les acteurs mathématiques doivent se confronter dans le débat à la représentation qu'ils ont et qu'ils donnent de leur discipline. Le monde numérique, les logiciels et l'ordinateur deviennent aujourd'hui pour les mathématiques de nouveaux supports et de nouveaux instruments comme le furent, par exemple, en leur temps, les chiffres écrits qui ont succédé aux abaques, non sans résistance et douleur. Le calcul n'a pas disparu pour autant, il a simplement changé de forme! Il a encore muté de nos jours avec la généralisation de l'informatique, du logiciel, des supports et des
modes de représentation et de calcul.
3) Les acteurs mathématiques doivent aujourd'hui se poser la question de la place des mathématiques, dans la science et plus particulièrement à coté et au sein de l'informatique. Dans la société actuelle, mathématiques et informatique deviennent difficilement séparables. Les mathématiques ont propulsé l'informatique qui elle même alimente les mathématiques en nouveaux et difficiles problèmes à résoudre. L'union doit donc être officialisée sous peine de voir disparaître à moyen terme dans l'enseignement l'une des deux disciplines, et il n'est pas difficile de savoir de laquelle il s'agira !....
La suite ci-dessous:
pourquoi-je-suis-favorable.pdf

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23 novembre 2007

 

Epreuve pratique de maths : dossier de L'APMEP

Descriptifs des sujets 2008

Descriptifs des sujets expérimentés en 2007

Sujets complets 2007

Rapport de l'inspection générale sur l'expérimentation de l'épreuve pratique au baccalauréat S

11/2007 : Discussion avec J. Moisan (IG) et M. Fréchet (APMEP) http://www.mathsdiscut.net/forum/

La position du comité

L’analyse de Marc Roux

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18 novembre 2007

 

Calcul formel :Pourquoi et comment utiliser XCAS au lycée ?(par Guillaume Connan)

XCAS existe depuis quelques années mais est très mal connu au lycée car sa puissance fait peur. XCAS permet en effet de traiter des problèmes très sophistiqués, mais, ce qu'on passe souvent sous silence, des problèmes très simples qui permettent par exemple d'initier des élèves de l'école primaire à la programmation !

Nous commencerons en abordant la géométrie dynamique au lycée car c'est un domaine où une comparaison avec les logiciels massivement utilisés par les professeurs du secondaire est possible, ce qui n'est pas le cas du calcul formel, de la programmation et surtout la possibilité d'associer les trois plus le tableur qui constitue une des grandes forces de XCAS.

Nous poursuivrons par un sujet de l'épreuve pratique de Terminale S qui défraie la chronique actuellement et effraie nombre de collègues.

Nous traiterons ensuite un problème que ni un logiciel de géométrie classique, ni un tableur ne peuvent traiter et qui est pourtant très intéressant mathématiquement.

Nous finirons par un exemple de TP donné en Terminale S et qui utilise un soupçon d'algorithmique.

Guillaume Connan 2007-11-13

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