16 mai 2008
Roman : Flowerbone de Robert Alexis
Dans un futur proche, les humains – pas si malins – ont mis au point des robots capables de penser, les cyborgs ; lesquels ont fini par en avoir assez d’être cantonnés aux tâches subalternes, si bien qu’ils ont fini par prendre le pouvoir. Exit les Hommes. Puis, comme tout n’est qu’évolution, les mathématiques qui régissaient l’esprit des cyborgs ont continué à poursuivre leur recherche expérimentale si bien, qu’un beau jour, c’est V. Dee, le grand ordinateur, qui prit le pouvoir. Le Grand Ordinateur contrôlait désormais toute forme de vie artificielle et gérait la cité grâce au Programme. Tout aurait pu être pour le mieux dans le meilleur des mondes s’il n’y avait eu ce petit bug, en quelque sorte, cette question anodine qui s’est amplifiée. Au point de devenir un leitmotiv qui tournait en rond dans les puces au silicium et qui déclencha l’opération.Un Grand Ordinateur, une entité riche de toute l'évolution. Mais l'univers n'en demeure pas moins une énigme. Il n'y a pas de " savoir absolu ". Quand a-t-on fait fausse route ? Ne faut-il pas tout recommencer à partir des humains, de leur sensibilité, de leurs intuitions ? Le " Programme " choisit dans le passé une femme capable d'endosser le rôle d'une Ève nouvelle...
Ci- dessous un extrait d'une critique du site "Actualitté.com" :
"Il en est de certains romans comme des songes qui nous quittent alors que le réveil vient de sonner. On les regrette, pour cette part onirique dans laquelle ils nous ont fait voyager, dans une invitation plus diablement baudelairienne que jamais. On s’en extirpe avec en bouche une frustrante sensation de perte, de vide, dont on ne goûtera plus jamais la plénitude."
Ci- dessous un extrait d'une critique du site "Actualitté.com" :
"Il en est de certains romans comme des songes qui nous quittent alors que le réveil vient de sonner. On les regrette, pour cette part onirique dans laquelle ils nous ont fait voyager, dans une invitation plus diablement baudelairienne que jamais. On s’en extirpe avec en bouche une frustrante sensation de perte, de vide, dont on ne goûtera plus jamais la plénitude."
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