23 mars 2017

 

Le prix Abel de mathématiques décerné à Yves Meyer.

Récompense méritée pour le mathématicien Yves Meyer, principal inventeur 
des « ondelettes », cet outil qui permet de compresser les images au format JPeg 2000. Mais cette technique de traitement du signal, venue de la géologie, va bien au-delà, complétant en quelque sorte les transformées de Fourier, et a trouvé bien d'autres applications dans les sciences et les technologies. Les pavages de Penrose, eux aussi, doivent beaucoup à cet homme, chercheur éclectique.

Déjà distingué en 2010 par le prix Gauss et en 1970 par le prix Salem, le mathématicien français Yves Meyer vient de recevoir le prix Abel, décerné chaque année depuis 2003 par l'académie norvégienne des sciences. À l'égal de la médaille Fields, qui a honoré Cédric Villani en 2010, cette récompense est considérée du niveau d'un prix Nobel, lequel n'existe pas pour les mathématiques.

La suite de l'article de Jean-Luc Goudet, sur Futura-Sciences  est ici

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19 novembre 2012

 

Henri Poincaré, l'harmonie et le chaos .

Henri Poincaré, l'harmonie et le chaos.

 A revoir pendant 5 jours
 Un documentaire de Philippe Worms 
 Une co-production France Télévisions/Vie des Hauts Production/CNRS Images




















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16 mai 2012

 

Les Nuits de l'incertitude - LE GRAND SOIR




Avec Alain Aspect, Jean Audouze, Michel Cassé, Alain Connes, Thibault Damour, Antoine Guggenheim, Etienne Klein, Jean-Pierre Luminet, Cédric Villani.
Les nuits de l'Incertitude:  Série de rencontres ouvertes à tous, néophytes, curieux ou initiés, conçues pour prolonger l'expérience du « dépaysement soudain » proposée par l'exposition Mathématiques de la fondation Cartier. 
L'incertitude, questionnée par Stéphane Paoli, se niche au cœur de ces soirées où les mathématiques sont abordées obliquement par la musique, la finance ou encore la cosmologie.
Trois parties pour cette soirée de clôture intitulée "Le grand soir"
1)Singularités.
2)Les incertitudes quantiques .
3)Cosmologie

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23 mars 2012

 

Les maths, une science comme les autres ?

<h2>Les maths, une science comme les autres ?</h2><p><p>Avec Jean-Pierre Bourguignon, directeur de l'Institut des Hautes Études Scientifiques (IHES), et Cédric Villani, directeur de l'Institut Poincaré. À l'occasion du lancement du cycle de conférences <a title="Conférences maths" href="http://petitlien.fr/5sip" target="_blank"><em>Le cosmos vu par les mathématiques</em></a> à la Cité des sciences.</p></p>

Débat entre Jean-Pierre Bourguignon, directeur de l'Institut des Hautes Études Scientifiques (IHES), et Cédric Villani, directeur de l'Institut Poincaré.

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20 mars 2012

 

Grammaire de la Nature - Jean-Marie SOURIAU .

Page trois du livre :

" Devant vous, un écran s'allume.
Au centre, vous apercevez la lettre S ; d'autres lettres sont réparties sur l'écran, inclinées dans tous les sens ; certaines retournées, d'autres pas.
Le jeu est simple : la même lettre S figure une seconde fois quelque part sur l'écran, il faut réussir à l'y pointer avec une commande. Le plus vite possible : vous serez chronométré.
Quelques secondes suffisent pour un joueur exercé. Mais ce qui est curieux, c'est qu'il ne faut guère plus d'un dixième de seconde à un chimpanzé pour atteindre la bonne lettre.
Bizarre… Pourquoi est-il tellement plus rapide que nous ?
Sans doute parce que ce genre de rapidité lui est plus nécessaire qu'à nous : un habitant des arbres, qui dégringole souvent de branche en branche, a besoin de se repérer dans l'espace plus rapidement qu'un simple promeneur. En un dixième de seconde, on ne tombe que de cinq centimètres; en deux secondes, de vingt mètres.


Quand nous jouons à ce jeu, nous imaginons la lettre S qui se déplace, qui tourne, qui fuit. Et quand cette image mentale mobile rattrape l'image fixe aperçue sur l'écran, nous avons gagné.
Nous utilisons donc la possibilité de transporter mentalement les images, de leur faire subir certaines actions : rotations, déplacements, etc.
Ces actions-là ont entre elles des relations très particulières ; les géomètres en ont fait l'inventaire ; et cet inventaire, ils l'appellent groupe.
Attention ! derrière ce petit mot "groupe", se cache un « universel » de la pensée. Un instrument pour concevoir le monde.


Tout à l'heure, naïvement, nous avions écrit « la même lettre S ». Une lettre S quelque part, et ailleurs la même lettre, qu'est-ce que ça signifie au juste ?
Deux fois la même lettre, ça veut dire deux lettres apparemment différentes (elles diffèrent par leur place sur l'écran), mais que l'on peut reconnaître comme identiques en transportant l'une sur l'autre (un transport mental suffira).
Nous ne pouvons dire « la même » ou « pas la même » que si nous avons pris en compte l'organisation de ces transports. Et cette organisation, c'est le groupe.


Qu'est-ce qu'un nombre ? C'est le résultat de l'art de compter.
Pour compter, les enfants apprennent d'abord à ne pas compter deux fois la même bille dans un sac de billes. La même bille ? Nous y voilà.
Chaque fois qu'on compte des choses, on manie implicitement un groupe, qui détermine comment ces choses sont à la fois distinctes — pour ne pas les compter deux fois — et semblables — pour les reconnaître comme équivalentes et les compter de la même façon. 
C'est ainsi que le groupe est antérieur, dans notre pensée, à d'autres catégories que nous pourrions croire primitives, comme « le nombre » ou « l'espace ». 
 Le groupe spatial ? Si les singes et les hommes savent le manipuler aussi vivement, c'est qu'il s'agit d'un outil disponible à un niveau très primitif de la pensée ; peut-être est-il "câblé" quelque part dans notre cerveau, comme dans celui des animaux qui possèdent une compétence spatiale analogue à la nôtre."
...


Si ce texte vous a intéressé, vous pouvez télécharger ici  le très instructif livre * de Jean-Marie Souriau, mathématicien français décédé la semaine dernière .


*livre s'adressant en grande partie à tout public, disponible en ligne uniquement (hélas)

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22 novembre 2011

 

Quiz


Quiz : scientifiques au féminin

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23 juillet 2011

 

l'Institut des Hautes Etudes Scientifiques (IHES)

Jean-Pierre Bourguignon dirige l'Institut des Hautes Etudes Scientifiques (IHES) , une fondation dont la mission est d'encourager la collaboration entre mathématiciens du monde entier.


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26 mars 2011

 

Que suis-je ?

Je suis une récompense .
Je fus créé par le gouvernement norvégien avec l'objectif de combler l'absence de prix Nobel de mathématiques.
Depuis ma première attribution en 2003, six Américains ont remporté le prix, ainsi que trois Français, un Britannique et un Suédois.
Je couronne l'ensemble d'une oeuvre mathématique et non une percée ponctuelle.
J'ai été attribué mercredi dernier à l'Américain John Milnor  "pour ses découvertes novatrices en topologie, géométrie et algèbre".
Mon nom est celui d'un mathématicien norvégien, mais aussi le prénom du deuxième fils d'Adam et Ève.

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08 mars 2011

 

Qui est-ce ?

Elle naît dans une famille juive, en Bavière.

Elle envisage d'abord d'enseigner le français et l'anglais après avoir passé les examens requis, mais étudie finalement les mathématiques à l'université d'Erlangen où son père donne des conférences.

 En 1915, elle est invitée par David Hilbert et Felix Klein à rejoindre le très renommé département de mathématiques de l'université de Göttingen. Cependant, en raison de l'opposition de la faculté de philosophie, elle doit pendant quatre ans donner des cours sous le nom de Hilbert.

Décrite par 
Albert Einstein et d'autres comme la femme la plus importante de l'histoire des mathématiques, elle a révolutionné les théories des anneaux, des corps et des algèbres. En physique, le théorème qui porte son nom explique le lien fondamental entre la symétrie et les lois de conservation.

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18 janvier 2011

 

Comment devient-on mathématicien ? Focus sur le parcours de Wendelin Werner .



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16 octobre 2010

 

Décès du mathématicien Mandelbrot

Le mathématicien franco-américain Benoît Mandelbrot est décédé avant-hier à Cambridge à l'âge de 85 ans, a indiqué aujourd'hui le New York Times .

" Si vous prenez le début et la fin, j'ai eu une carrière classique," disait-il, se référant à son prestigieux parcours le menant de Paris à Yale.
"Mais ce n'était pas une ligne droite entre le début et la fin.
C'était une ligne très tortueuse."


Ancien élève de l'école Polytechnique de Paris, Benoît Mandelbrot était professeur émérite à l'Université de Yale (Connecticut, nord-est des Etats-Unis). Avant de rejoindre le centre de recherche d'IBM aux Etats-Unis en 1958, Benoît Mandelbrot avait travaillé au Centre national de la recherche scientifique (CNRS) à Paris. Il a travaillé au début de sa carrière sur des applications originales de la théorie de l’information, puis développé ensuite une nouvelle classe d’objets mathématiques : les objets fractals, ou fractales.

Il signe en 1973 dans une revue d’économie un article au titre bien prudent : "Formes nouvelles du hasard dans les sciences". Cet article répertorie les cas où, contrairement au paradigme classiquement utilisé, les aléas ne s’annulent pas, mais au contraire se cumulent, et où la prédiction statistique classique ne fonctionne plus. Il cite bien entendu des exemples pris dans son domaine à IBM, la transmission du signal, mais également dans des domaines inattendus : les crues du Nil, la forme des nuages, celle des fleuves.
Il arrive brillamment à la conclusion qu'il n'y a pas une forme de hasard, qui conduirait toujours à une égalisation par la loi des grands nombres. Il s’agit là d’une illusion due au fait que nous n’étudions que ces exemples en nous détournant des autres comme mal conditionnés, comme les mathématiciens se sont détournés de la courbe de von Koch qu’ils considéraient comme un objet monstrueux : les sphères ou les triangles sont considérés comme des objets acceptables par les mathématiciens de l’époque, mais pas les nuages ni les arbres (du moins en tant qu’objets géométriques). Les mathématiques de cette époque restent muettes sur les monstres. Pas étonnant dans ces conditions que les mathématiques existantes soient considérées comme ayant un immense pouvoir d’explication des phénomènes scientifiques, car nous ne considérons comme scientifiques que les phénomènes qu’elles permettent d’expliquer! Nous sommes pris dans le piège d’un argument circulaire dont nous ne pouvons plus sortir.
Or, ajoute Mandelbrot, c’est l’essentiel des phénomènes de la nature qui obéissent à cet autre type de hasard où l’on ne peut appliquer la loi des grands nombres. Le modèle standard nous fait passer à côté de la plus grande partie de la réalité, et va jusqu’à nous empêcher même de la voir. Il cite alors comme exemple de cette nouvelle forme de hasard à étudier, l’exemple qui deviendra célèbre de la côte de Bretagne, dont la longueur dépend de l’échelle à laquelle on la mesure et qui constitue à proprement parler ni un objet à une dimension, ni un objet à deux dimensions, et c’est en acceptant l’idée de dimension non-entière que nous allons pouvoir attaquer ces objets qui ont toujours échappé à notre étude : la théorie fractale est dès cet article officieusement lancée.

Voir une conférence donnée en l'an 2000 par Benoît Mandelbrot sur le site de canal U

Source:Wikipédia

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14 octobre 2010

 

Qui est-ce ?

Mathématicienne et physicienne, née à Paris en 1706 et morte à Lunéville, en Lorraine, en 1749 .

Marquise, elle fut moquée par les dames de la Cour.

Elle entreprit la traduction des Principia Mathematica de Newton.

A sa mort, Voltaire, qui fut son amant, écrivit :
"J'ay perdu un amy de vingt-cinq années, un grand homme qui n'avoit de défaut que d'être une femme, et que tout Paris regrette et honore ".

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31 août 2010

 

Gênio da matemática carioca : Artur Avila

On a beaucoup parlé, dans les média, ces derniers jours, des lauréats de la médaille Fields 2010 et pas ou peu de ceux qui auraient pu être élus et qui ne l'ont pas été .
Parmi eux figure le Brésilien Artur Avila dont le principal handicap fut peut-être d'avoir tout juste 30 ans et d'être donc encore éligible deux fois ( pour être lauréat, il faut avoir moins de 40 ans)
Un portrait de ce favori du prochain congrès (qui aura lieu à Séoul en 2014) figure sur le site de la fondation Sciences Mathématiques de Paris .

En voici un extrait :

"Artur Avila est né au Brésil en 1979. A 16 ans, il remporte la médaille d’or des Olympiades Internationales de Mathématiques de Toronto. Ce prix le conduit à l’Instituto Nacional de Matemática Pura y Aplicada (IMPA) de Rio de Janeiro, où il commence alors des études de mathématiques tout en terminant le lycée. A 19 ans, il débute sa thèse (en dynamique unidimensionnelle) sous la direction de Welington de Melo. Il l’achève en 2001 et rejoint le Collège de France pour un postdoc de deux ans, avant d’être recruté au CNRS. En 2005, il est chargé du Cours Peccot au Collège de France, sur le thème "Dynamique des cocycles quasipériodiques et spectre de l'opérateur presque-Mathieu". En 2006, âgé de 27 ans, il reçoit la Médaille de Bronze du CNRS et le Prix Salem. Dans le même temps, il devient Research Fellow du Clay Mathematics Institute. Cette bourse de trois ans lui confère une certaine liberté et lui permet notamment de passer beaucoup de temps à l’IMPA. En 2008, devenu Directeur de Recherche CNRS à seulement 29 ans, il partage toujours son temps entre Paris et Rio. « Paris et Rio sont deux environnements de travail très différents. La concentration de mathématiciens à Paris est probablement la plus grande du monde. Il se passe tellement de choses intéressantes à tout moment dans cette ville que le danger est de manquer de temps pour écrire des articles. Finalement, je crois que c’est une bonne chose de passer une partie du temps à Paris et une partie à Rio. », explique-t-il.

En juillet 2008, Artur Avila a reçu le Prix de la Société Européenne de Mathématiques décerné lors du 5e Congrès Européen de Mathématiques, pour ses travaux en systèmes dynamiques, et en particulier ses contributions en dynamique unidimensionnelle, sur les opérateurs de Schrödinger, les échanges d’intervalles et le flot de Teichmuller.
En juillet 2009, il reçoit le Grand Prix Jacques Herbrand, qui est décerné tous les deux ans par l'Académie des Science et récompense de jeunes chercheurs de moins de 35 ans pour des travaux jugés utiles au progrès des mathématiques ou de leurs applications pacifiques. Il succède ainsi à Cédric Villani (lauréat 2007), Franck Barthe (lauréat 2005) et Wendelin Werner (lauréat 2003) notamment... "

La suite du portrait est ici

Source de l'image

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17 juin 2010

 

Mathisto

Le CIJM ( comité international des jeux mathématiques) nous annonce la naissance de Mathisto, jeu de stratégie et de culture mathématique !
(80 cartes format tarot avec étui)
Combien connaissez-vous de mathématiciens, de mathématiciennes ? Deux, trois, quatre, vingt ? Avec Mathisto vous ferez la connaissance de plus de quarante quatre personnages qui ont fait les mathématiques !
En famille ou entre amis, jouez à Mathisto. En vous amusant, vous entrerez dans le monde méconnu des mathématiciens, de leur histoire, de leurs découvertes

Pour acheter Mathisto en ligne


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12 juin 2010

 

Julia Kempe élue Femme en Or de la recherche 2010

Chercheuse au CNRS, Julia Kempe s'est vue décerner le 7 juin 2010 à Paris le Trophée Femme en Or 2010 dans la catégorie « recherche ». A 36 ans, cette spécialiste du calcul quantique a déjà derrière elle une brillante carrière d'informaticienne, à l'interface entre la physique et les mathématiques. Berlinoise d'origine russe, son parcours scientifique l'a menée d'un bout à l'autre du monde; elle étudie en effet d'abord en Autriche puis en Australie avant d'obtenir à Paris deux DEA, le premier en mathématiques et le second en physique théorique.
Julia Kempe consacre ses recherches à des algorithmes un peu particuliers, destinés aux ordinateurs de demain, les machines quantiques.

Le communiqué du CNRS
Un article du Figaro.fr

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04 juin 2010

 

Vladimir Arnold

Le Russe Vladimir Arnold, considéré comme l'un des plus grands mathématiciens du XXe siècle, (Il a résolu le treizième problème de Hilbert avec Andreï Kolmogorov dans les années 1950) est mort subitement après avoir subi une intervention chirurgicale jeudi 3 juin en France, à quelques jours de son 73e anniversaire.

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12 mai 2010

 

Toute la beauté des mathématiques .

Un entretien avec Pierre Deligne, mathématicien belge qui a obtenu les récompenses les plus prestigieuses : médaille Fields en 1978 pour sa preuve de la conjecture de Weil, prix Crafoord, prix Balzan et, en 2008, le prix Wolf pour l’ensemble de ses travaux.

C'est ici

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29 avril 2010

 

"Tout est relatif, monsieur Poincaré" .

" Ce film, produit par l'université de Nancy 2 en 2005, propose un voyage en images vers un passé à la fois proche et lointain : l'époque d'Henri Poincaré
( né il y a exactement 156 ans aujourd'hui), époque qui a vu naître, dans un même mouvement, notre science et notre monde modernes.
Il nous raconte le parcours d'un génie exceptionnel, mathématicien, physicien et philosophe, le dernier sans doute à avoir pu embrasser le savoir de son époque, le premier à jouer un rôle clef dans l'avènement de la science moderne . "

Source: Canal U (http://doiop.com/poincare)



Auteur: Philippe Thomine, ingénieur de formation (Ecole des Mines de Nancy).
Après avoir été comédien et metteur en scène au théâtre, il est devenu réalisateur de films documentaires. Il collabore régulièrement avec les universités Paul Verlaine - Metz et Nancy pour la réalisation de films scientifiques.

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03 mars 2010

 

Qui est-ce ?


1) Mathématicien allemand d'origine russe, il naquit à Saint-Pétersbourg, le 3 mars 1845, il y a exactement 165 ans

2) Ses accès de dépressions récurrents, dans la deuxième moitié de sa vie, ont été parfois attribués à l'attitude hostile de certains de ses contemporains

3)C'était un violoniste remarquable

4) La portée de ses travaux est considérable et ceux-ci se sont imposés malgré toutes les difficultés rencontrées et ont complètement remodelé l'univers mathématique

5) Dans le but de contrer ses détracteurs, un mathématicien de renom a affirmé
« Nul ne doit nous exclure du Paradis que ... ... nous a créé » .

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12 février 2010

 

Laure Saint-Raymond nous explique le défi de Boltzmann

Un texte, un mathématicien :
"Décrire mathématiquement les gaz : le défi de Boltzmann"

Avec Laure Saint-Raymond, Université Pierre et Marie Curie et Ecole normale supérieure.

Laure Saint-Raymond (35 ans) est l’une des mathématiciennes les plus actives de sa génération. Lauréate de l’un des prix de la Société Mathématique Européenne décernés au Congrès Européen de Mathématiques en 2008, elle a reçu en 2009 le Ruth Lyttle Satter Prize de l’American Mathematical Society
.


Ecouter l'émission diffusée le 08 Février 2010 sur France-Culture


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